Un charmant réseau qui noyaute la ville, passant entre des demeures cosues. En période de fête, le tout étant encore mieux entretenu, décoré. Ces ruelles sont pour la pluspart joyeuses, grouillantes de vie, de vraie. Il n'est pas rare d'y trouver la coquette échoppe bigarée d'un petit commerçant qui te proposera quelque breloque.

Superbe parc s'il en fut. S'étendant jusqu'à la frontière de la Dei Scola, agrémenté d'un petit bois où les enfants adorent jouer la journée. Jamais personne n'osant cependant s'y promener de nuit, de peur de faire une facheuse rencontre. Dont les conséquences pourraient être terribles.

"INTERDIT : ISSUE CONDAMNEE". Pourtant ouverte à tous. Enfin, je ne te le conseille pas, n'oublies pas que tu es à Oxford, à quelques pas de la Dei Scola. Une ruelle épave, sacagée, raconte-on, par des pseudos-résistants répugnants à se plier aux ordres de ces chiens que l'on nomme traqueurs. Ils s'y promènent parfois, d'ailleurs.Cependant, il y a un certain paquet de matériel en tout genre à récupérer, ce qui fait que bien des audacieux s'y aventurent, au péril de leur vie : armes, munitions, médicaments. Bref, un grand bordel, une remise...

Monument respécté de tous, un véritable sanctuaire qui draine la pluspart de la population les dimanches matin. La Dei Scola envisage donc la faire agrandir, et c'est à cet effet que des travaux sont réalisés. Plus de place. Pour plus de fidèles priant pour le répit de leur âme, pour qu'elle n'endure point les pires tourments de l'enfer. Tu sais bien ce que l'on dit "entre le pied et l'étrier, la miséricorde..."
La chapelle s'étend tout autant que s'affermit le pouvoir de la Dei Scola... Jusqu'où ?

Restaurant très chic, très côté, où le beau monde ne manque pas d'organiser ses soirées entre gens bien-nées. Smoking exigé la soirée. Ouvert de 11h30-15h et 18h30-minuit.
Des réceptions privées sont organisées dans le fumoir.

National Theater of Oxford, au pays de Shakespeare. La Dei Scola accorde une grande importance à la culture, afin que les citoyens de cette ville bénie puissent se distraire. S'ennivrer à la folie en ces soirées pour les privilégiés qui peuvent encore faire un pas la nuit sans crainte de recevoir douze balles dans la peau. La fine fleur de la bourgeoisie.

Bar, auberge peu couteuse, où l'on coitoie toute la basse crapule Oxfordienne. Quoi donc ? Pensais tu qu'Oxford n'était qu'une aimable coquille dorée ?

Monté de toute pièce par les nommades, qui proposent chaque soir un spectacle innédit, charmeur de serpent, pouvoirs exaltants, cracheur de feu, diseuse de bonne aventure. Un cirque qui possède suffisement d'atout pour pouvoir connaître une fulgurante assencion. En perspective, une joyeuse soirée entre amis, famille, etc.
Oh, tout à fait accessoire ... On déplore la disparition de la voyante, au talent si plébiscité qu'elle aurait convaincu n'importe qui, dit-on. Et l'on ne sait où elle a disparu. Ou ...