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 Nicolaï Karoff

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AuteurMessage
ADMINISTRATEUR
La démence est un art -
Heathcliff Fletcher

Heathcliff Fletcher

MENSONGES : 357
DATE DE PANDAISON : 16/07/2007
LIEU DU CRIME : WC - cuvette déjà bouchée. On y enfourne la vilaine caboche, on appuie et on évite un coup de pied mal placé, ou une petite menotte baladeuse.
ARME FAVORITE : Dents.
CIBLE FAVORITE : Jeune demoiselle en détresse.

CHECK RABBIT
GENRE: Traqueur
GENERATION: NIVEAU B - en latence
DANGEROSITE EVALUEE A:
Nicolaï Karoff Left_bar_bleue95/100Nicolaï Karoff Empty_bar_bleue  (95/100)Nicolaï Karoff _
MessageSujet: Nicolaï Karoff   Nicolaï Karoff EmptyVen 13 Juin - 15:55

[_.FEUILLE PERSONNAGE._]



    Nom : Karoff
    Prénom : Nicolaï
    Age : 22 ans.
    Groupe : La Corporation

    Apparence physique :
    Nicolaï n'est pas très grand. Dans les alentours d'1M75. Pour un poids avoisinant les 60 kilos. Son corps est fin, droit, sec. Ses muscles ne sont pas très développés. Mais ils n'en restent pas moins saillants. Il n'a en fait, que l'apparence d'un jeune homme fragile, voir n'étant pas encore tout à fait à la fin de sa croissance. Cependant, ce ne sont là que de grandes illusions. Il est tout sauf inoffensif, voir mignon. Un vrai chien enragé. Sa démarche est mal assurée, pourtant il s'avère apparaître comme sûre de lui. Sa peau est légèrement tamisée. Mais elle garde de nombreuses cicatrices à jamais gravées. Des traces d'injections sur les bras et les jambes. De longues gravures dans le dos ou le torse, dû aux coups, voir opérations. Il n'est que le résultat de plusieurs années d'expérimentations illégales et barbares. Son visage, une accumulation de traits enfantins. Un nez droit, une bouche mince. Et des yeux rieurs, d'un bleu glacial. Un regard presque mort, qui malgré son apparence, lorsqu'on sait y lire, ne pense qu'à tuer. Un regard profond révélant toute la souffrance et la folie qui se cache en lui.
    Quant à son style vestimentaire ? Il n’en a que faire. Il s’habille avec ce qu’il trouve. Et, étrangement, il en garde une classe certaine. Un vrai dandy, tout droit sortir de sous les jupons du diable.

    Description morale :
    Le jeune homme est un vrai cinglé. Un parfait dégénéré en puissance. Il ne semble avoir aucune limite. Il est capable de tout, et surtout du pire. Il s'avère être extrêmement impulsif, et forcément violent. Un tueur né, un parfait élément qui ne réfléchie pas lorsqu'on lui donne une mission. Il obéit, agit. Il est imprévisible, on ne sait jamais comment le beau brun peut réagir. Et ça... Même avec ses "alliés". Il est arrogant et prend de l'assurance grâce à sa supérieure. Il sait jouer avec les gens l'entourant. Il manipule, prenant pour masque sa bouille d'ange. Il est intelligent, et sait ce qu'il désire réellement. C'est pourquoi, il ne faut pas compter sur lui, si cela ne lui rapporte rien en échange. Nicolaï est encore un enfant. Il ne sait pas gérer sa vie d'adulte. Il ne sait pas éprouver une once de sentiments. Il est comme une coquille vide, que le néant semble vouloir engloutir au fur et à mesure du temps. Le jeune homme garde toutes les souffrances passées, tant physique que morale. Il est détruit de l'intérieur. Rien n'arrive plus à l'atteindre. En sortant de son isolement, il à découvert les joies de la liberté. Filles, alcool, et drogues. Tout ce qu'il fait de son temps libre n'est rien d'autre que se défoncer à un nombre incalculable de substances illicites qu'il arrive à se trouver sur le marché noir, il se shoot à ne plus tenir debout. Il ne partage sa vie avec personne. Trop insociable et peut être même paranoïaque.

    HISTOIRE du perso :
    Je ne suis pas né. Ou pas tout à fait. Je suis un monstre de laboratoire. Un être sans âme. On m'a voulu pour explorer le corps humains et ses capacités. Le résultat est t'il bon? J'ai entendu dire que oui, mais je n'ai préféré pas en demander les raisons... Peu m'importe en vérité. Je ne suis pas là pour juger, ni même essayer de comprendre. Je suis là pour agir et faire souffrir les êtres humains immondes de cette ville, pour qu'ils apprennent, chacun, à quel point ma rage est sans nom. Et mon âme est amère. J'ignore d'où je viens, je fuis où je vais. Mon existence n'est qu'une parmie tant d'autre. Une de celle qu'on semble pourtant, aimer à cacher. Mon passé m'est confu, et ce ne serait pour me déplaire...
    FLASH BACK
    10 ANS PLUS TÔT
    La forêt est tout autour de moi. Aucune issue n'est possible. Je cours, cours sans m'arrêter. Je ne sais pourquoi, je ne sais comment. Je n'arrive pas à réagir correctement. C'est comme si tout était au ralentie... Soudain, sans comprendre comment, mon corps tout entier chute vers l'avant. J'ai trébuché. Les yeux alertes, les mouvements saccadés. Je me souviens maintenant. Je dois le retrouver. Mon souffle se fait plus rapide, je sens au fond de mon être ce cœur si noire, qui se met à tambouriner sans plus savoir s’arrêter. Le bruit monte jusque dans mes oreilles et c’est à ce moment précis que me vient ce goût amer. Je dois retrouver cet homme que l'on a pris en chasse, moi et les autres. Il n'est pas très loin, je sens sa présence. Je n'ai aucune arme ? Je n'en ai pas besoin. Contrairement à lui, qui n'a qu'un calibre moyen. Le but est simple. Nous devons le tuer de nos mains. Tel des chiens enragés, des bêtes sauvages sans aucune humanité. Je suis de nouveau debout, tâché légèrement de terre humide. Je suis en tenue de sport. Une tenue que nous portons tous. Un tee-shirt gris ainsi qu’un pantalon de même couleur. Nous sommes tous identiques. Nous sommes tous semblables. Nous sommes tous des monstres. Des frissons d'excitation m'envahissent doucement. Je sais où il se trouve. Juste là, juste derrière moi. Je me retourne trop vite pour qu'il ne s'y attende, et lui attrape le bras d'un mouvement sec et violent. Ce dernier ce tord comme une brindille et un craquement indiquant que l'os n'a pas tenu bon, vînt s'épanouir dans les airs. Son arme alors pointée sur moi s’échappe dans les herbes hautes. L'homme d'une trentaine d'année émet un râle et se retrouve les genoux sur le sol. Je ne le regarde pas, ou pas réellement. Mes mouvements sont instinctifs, mécaniques. Les autres arrivent, mais ne peuvent qu'observer d'où ils sont. Le trentenaire me fixe mais plus pour tellement longtemps. Un coup de poing vient lui heurter la mâchoire. Puis un coup de genoux lui éclate les entrailles. Il se meurt. Sur le sol. Crachant le sang venant de son corps meurtri. J'observe les alentours et remarque que plusieurs d'entre nous le maintiennent fixe. La tête de l'imprudent tombe négligemment sur son torse. Je n’en prends pas immédiatement conscience, mais je suis encore en rage. Je suis encore contracté et prêt à frapper. Deux jeunes gens m’agrippent, me retenant, évitant que je ne lui enlève la vie pour de bon… Je finis par me calmer, et notre supérieur admire le travail. Je viens de réaliser ce que j’ai fait. Je n'ai que 12 ans...
    6 ANS PLUS TÔT
    De notre section, nous ne sommes plus qu’une dizaine sur la cinquantaine que nous étions. Je ne sais pourquoi je suis encore là, en vie. J’ai l’impression d’avoir volé la vie de quelqu’un d’autre. Je ne mérite pas de vivre. Pourtant, je ne ressens rien. J’observe le plafond au dessus de moi. Je suis couché dans la salle de repos. J’entends que beaucoup d’entre nous dorment déjà. Mais moi, c’est étrange, je n’ai pas sommeil. Je ne parviens pas à m’endormir. Quelque chose m’agrippe les entrailles et me force à rester éveillé… On vient souvent chercher des membres de ma section la nuit. On dit que c’est pour notre bien. Et je ne vois pas pourquoi cela pourrait être le contraire. Cependant, après cette nuit là, une grande partie ne revient plus pareille. Ils sont changés. Ils sont ma seule famille et le fait de les perdre me fait peur. Pourtant, on nous a déjà dit que la peur n’existait pas. Que nous n’avions aucun droit. Que nous n’avions pas ce droit, de ressentir des choses. Alors, je me dis que ce n’est rien. Que ce n’est qu’une impression. Que plus tard, tout reviendra comme avant. Malgré tout, d’après ce que j’observe, tout va en s’empirant. En regardant entre les barreaux de la fenêtre de notre salle, je peux voir l’astre nommé lune qui luit inlassablement. Il règne sur la nuit, et permet de me garder en vie.
    Des pas raisonnent de temps en temps, dans le long couloir blanc. Les gardes chargés de veiller à ce qu’il ne nous arrive rien. Ou que nous ne tentions rien ? Font leurs rondes. L’arme sur le côté et la matraque à la main. Finalement, tout devient lentement silencieux. Un silence doux et apaisant. La nuit m’envahie et je sombre dans ce lit, au milieu de cet endroit appelé Corporation.
    2 ANS PLUS TÔT
    Une douleur violente m’envahie à chaque nouvelle respiration. Je ne sais où je me trouve. Je ne sais même plus qui je suis. J’ai mal. Mal à en mourir. Mes yeux sont aveuglés par une lumière blanche qui s’avère s’épanouir dans toute la pièce. Aucune partie d’ombre où se réfugier. Rien. Je tourne la tête, doucement, et ma souffrance ne fait que s’accroitre. Je hurle, et me rends bien vite compte que je ne peux même pas bouger. Mes mains et mes pieds sont attachés à la table où je me trouve. Où mon corps déchiré a subi une nouvelle opération. J’ai appris à m’adapter à ce genre de situation. Ce n’est pas la première, et certainement pas la dernière. Je ne m’appartiens pas à moi-même, mais à cette organisation qui m’a crée tout entière. Gémissant, mes jambes ne peuvent que se tordre, alors que mes mains tentent de s’échapper de leurs liens. Finalement, j’arrive à faire sauter ces entraves. Ma force est certaine, mais ma rage plus puissante. Je tâte toujours, tel un aveugle, ce qui me retiens à cet enfer, à cette torture. Des files, pleins de tuyaux en tous genres. Il doit y avoir des sédatifs parmi eux. Mais je n’arrive pas à penser. Je n’arrive plus à distinguer quoique ce soit. Finalement j’arrache ces aiguilles qui me transpercent la chaire de toutes parts. Le sang s'échappe des ouvertures, et coule avec lenteur. Rien n’a été épargné. Mes jambes, mes bras, mon torse, ma nuque… Mon crâne. Je fais glisser entre mes doigts les bouts long et moue de latex. Ils sont là, fixés dans ce qui me sert de cervelle ? Je prends fermement ces objets immondes, et les enlève le plus rapidement possible, dans un râle que je n’arrive plus à contenir. Gémissant, je ne veux pas appeler de l’aide. Cela pourrait s’avérer être pire. Je trébuche sur le sol. Mes muscles ne sont pas capables de supporter mon poid. Et me hisse comme un animal apeuré en dessous de la table d’opération. D’ici, je peux enfin distinguer où je me trouve. Une grande salle blanche, avec en face de moi, un miroir. On m’observe. Pourtant je ne réagis pas immédiatement. Je me prends la tête entre les mains, et me recroqueville sur moi-même. Tout ce qui me couvre est une mince tenue clinique blanche, couvrant le devant et le derrière. Je me balance sans en avoir réellement conscience, d’avant en arrière. Ceci me soulage, voir… Me rassure ? Des pas claquent dans le couloir. Je les entends se rapprocher. 3 voir 5 ? Agents sont en route. Pour moi ? La porte s’ouvre et je détourne le regard vers mes assaillants. Je recule en rampant sur le sol gelé. Et me retrouve dos au mur. Me relevant en m’aidant de ce dernier. Je vacille et je me rends compte que mes jambes sont comme du coton. Je ne comprends pas grand-chose. Mais ils s’approchent. J’entends de loin des voix, qui me conseille de me calmer, que tout va bien aller. Mais je n’arrive pourtant pas à m’en persuader. L’un d’eux tente de m’attraper par le bras et je lui broie le siens en échange, j’enchaine sur le deuxième, puis fracasse le crâne du troisième sur le rebord de la table de métal. D’autre arrive pour me métriser. Mes yeux me brulent, rayés de rouges. Mes vaisseaux. Une jeune femme brune m’apparaît. Je n’en est presque jamais vu. Elle avance, doucement, tranquillement. Mon regard de glace semble hypnotisé. Elle me touche la joue et enfin, je disparais de nouveau dans le néant. Je sens quelque chose qui s'insinue dans mes veines. Cela brûle, mais me soulage. La douleur disparaît. Je sens que l’on me porte, que l'on me tire. Mes pieds trainent sur le sol. Et j’oublie…

    Aujourd’hui ? J’ai quitté l’URSS. Pour venir m’installer sur ce qui reste des Etats Unis. Je suis passé sous commandant. Mon supérieur ? Cette jeune femme brune qui m’a trompé il y a 2 ans. J’effectue à présent des missions sur le terrain. Et peux mettre à profit toute la haine qui me ronge de l’intérieur. On dit de moi que je suis cinglé. Mais est-ce vraiment la réalité ? J’ai un petit appartement dans la ville protégée. Ce qui n’est pas pour me déplaire, soyez en sûre. Je peux dormir sans craindre de me retrouver dans un cauchemar éveillé. Enfin… Je crois. Je suis toujours la propriété de la Corporation. Et je ne sais pas exactement pourquoi, mais je pressens que je ne suis pas inconnu à la clinique soutteraine qui s’est montée il y a peu en dehors. Elle appartient elle aussi à l’organisation. Et nous y sommes répertoriés. Qu’ils viennent me chercher et je les accueillerai. Ils ne m’auront pas facilement. En fait, je suis sûre qu’ils le savent pertinemment. Et que le jour venu, ils seront assez, et le cour des choses reprendra violement.

    Autre (s) :
    Famille : Une rumeur court, il semblerait que le jeune cinglé est un petit frère ayant grandie au dehors de la Corporation ...
    Avatar : Jamie Bell
    Loisir(s) / métier : Se shooter& Tuer.

    [_.ME._]

    Surnom : Ju
    Age : 16 ans
    Pays : FRANCE

    Comment avez vous connu le forum ? I'm a king
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Nicolaï Karoff

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